bluet-keywords-tooltip-generator domain was triggered too early. This is usually an indicator for some code in the plugin or theme running too early. Translations should be loaded at the init action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /var/www/html/sargasses.mio.osupytheas.fr/wp-includes/functions.php on line 6114wp-auto-updater domain was triggered too early. This is usually an indicator for some code in the plugin or theme running too early. Translations should be loaded at the init action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /var/www/html/sargasses.mio.osupytheas.fr/wp-includes/functions.php on line 6114Pierre SAMUEL, très attaché au bateau, connaît son histoire et nous raconte les missions qu’il a effectué. Lui aussi se rend compte du travail accompli à bord et de l’ambiance idyllique qui y règne. Voilà un court récit, écrit au dessus des vagues :
Pendant toute la mission Solène CONNAN étant en charge de faire des analyses sur cette étrange machine, le PAM, elle nous explique plus en détails son rôle et comment il fonctionne !
Pendant le week-end, tout le monde a eu l’occasion de se reposer un petit peu, certains nous ont même fait parvenir des récits nous contant la vie à bord ! Tous veulent faire transparaître leur attachement au bateau et à chaque personne présente lors de cette mission !
Il est temps de retrouver la Guadeloupe, le trajet du retour est entamé et pour l’instant peu de travail est annoncé à bord. Toute l’équipe profite pour faire du rangement au laboratoire, trier les échantillons et surtout faire le point sur la mission.
Mathilde Guéné est doctorante à l’Université des Antilles. Elle fait sa thèse sur la pollution par les microplastiques dans les écosystèmes marins.
Aucune tempête en vue finalement, l’Antéa a donc poursuivi son chemin pour atteindre son point le plus au Nord et la dernière station de l’équipage dans la mer des Sargasses. Un demi-tour et le navire entame le chemin du retour jusqu’à la Guadeloupe. L’eau est très bleue, presque trop bleue, ici elle est en effet oligotrophe : les filets à plancton récoltent plus de débris de plastique que de plancton… Jean nous raconte : « Dans le grand gyre de…
Comme toujours nos matelots sont prêts à effectuer toutes leurs analyses dès 8h sur la 18ème station. Paradoxalement, au sein même de la mer historique des Sargasses, les algues brunes restent très discrètes…
Très tôt, tout l’équipage est déjà opérationnel ! La journée commence avec la station 16. Malgré la houle importante – 2 m 50 de creux tout de même ! – et la difficulté à se déplacer, le moral est au beau fixe et le mal de mer est bientôt un lointain souvenir.
Après avoir répondu à l’interview de Guadeloupe première la mission Sargasse fait encore parler d’elle : un article en date du 3 juillet résume bien le but de la mission en vidéo.
Après cette courte escale direction la mer historique des Sargasses, mais il faut la mériter ! Le bateau bouge beaucoup et la mer ne laisse aucun répit à nos scientifiques !